alias MARCEAU dans la résistance.
Pierre Penel habite à Saint-Genis-Laval avec ses parents à partir de 1933. Il prépare un C.A.P. de mécanicien, puis il est incorporé dans l'"Armée de l'Armistice".
Le 1er juin 1943, le sergent Penel entre au service des maquisards où il devient instructeur et fait preuve de rares qualités d'énergie et de dévouement absolu. Il est ensuite affecté au Centre de Régulation de Lyon.
Il y organise très vite une spectaculaire opération en faisant évader trois maquisards blessés, gardés à l'hôpital de Périgueux.
Le 13 mars, en service commandé, il est arrêté par la Gestapo en gare de Lyon-Perrache. Il sera détenu et soumis à la torture au fort de Montluc.
Penel et un de ses camarade sont alors transférés d'abord à Compiègne, et, le 6 juin 1944 ,c'est le départ pour la déportation à Buchenwald. Il y meurt d'une pneumonie le 24 janvier 1945.
Il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.
Lucien Frangal dit de lui : « À Montluc, nous avons subi des tortures, mais Marceau savait se taire, il avait la volonté de tout supporter pour son idéal. »
Pierre Penel habite à Saint-Genis-Laval avec ses parents à partir de 1933. Il prépare un C.A.P. de mécanicien, puis il est incorporé dans l'"Armée de l'Armistice".
Le 1er juin 1943, le sergent Penel entre au service des maquisards où il devient instructeur et fait preuve de rares qualités d'énergie et de dévouement absolu. Il est ensuite affecté au Centre de Régulation de Lyon.
Il y organise très vite une spectaculaire opération en faisant évader trois maquisards blessés, gardés à l'hôpital de Périgueux.
Le 13 mars, en service commandé, il est arrêté par la Gestapo en gare de Lyon-Perrache. Il sera détenu et soumis à la torture au fort de Montluc.
Penel et un de ses camarade sont alors transférés d'abord à Compiègne, et, le 6 juin 1944 ,c'est le départ pour la déportation à Buchenwald. Il y meurt d'une pneumonie le 24 janvier 1945.
Il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.
Lucien Frangal dit de lui : « À Montluc, nous avons subi des tortures, mais Marceau savait se taire, il avait la volonté de tout supporter pour son idéal. »
